Benjamin A.
Banlieue parisienne.
La cinquantaine.
Quand on tombe dans la peinture par la porte du graffiti à l’âge de douze ans, ça laisse quelques traces, ça conditionne la suite…
Les mots et les pinceaux ont remplacé les bombes, la pérennité du papier a remplacé la précarité des murs, mais la quête demeure identique : l’adrénaline comme carburant, l’uppercut en guise de discours et la tension comme leitmotiv.