Je suis Hacim Boubehira, né le 19 février 1958 à Marange Silvange. J’ai vécu jusqu’en 1997 en Moselle et puis ensuite dans les Alpes-Maritimes. Je suis ingénieur chargé des services techniques dans la fonction publique territoriale. J’ai été marié puis divorcé deux fois, je suis père de trois enfants. Croyances aux liaisons d’éternité qui se conjuguent bien mieux au temps d’avant avec autant de terminaisons que d’amour. C’est qu’au temps militaire d’un père d’obédiences Kabyles, il a fallu bien décliner à vents présents ou passés ses racines orientales. Né avec quinze autres petits bouts d’une mère qui cultiva en corps ses seize parcelles de bonheur d’une manière ancestrale. Ma foi est telle, que je pense encore aujourd’hui qu’elle est génétique. Parfois avec prétention, je rends grâce à la philosophie pluriculturelle, comme si c’était crucial pour le futur. Ma foi va jusqu’à expliquer l’éternité car il est écrit en lettres d’amour capitales, que si au bout le bonheur existe, tu partiras en bonne santé. Religion, notre passage est un témoin d’amour que l’on transmet à notre progéniture pour que le trait d’union entre les êtres soit symbole de vie.