Alexandre d’Orlando signe ici son dixième roman. Toujours en train d’explorer le grand cosmos, mystérieux par nature, avec des histoires pourtant profondément humaines, il donne avec ce dixième opus, Les enfants perdus de Belisama, un développement grandiose au récit de science-fiction, à la taille de la Voie lactée. Pour continuer d’étudier l’humanité en scrutant l’Univers, il a fait sienne cette pensée d’Albert Einstein : « Inventer, c’est penser à côté… »