Femme de lettres, née à Cannes au début des années 1990, Johanna Delorme a grandi sur la Côte d’Azur.
C’est lors de ses études sur la Côte d’Opale qu’elle côtoie le poète équatorien Ramiro Oviedo. Ayant eu un impact significatif dans sa vision de la société contemporaine, il l’encourage à écrire et à participer à différentes lectures publiques. Expérience qu’elle renouvelle à Poitiers en participant deux années consécutives à des ateliers d’écriture orchestrés par Margot Le Thiec, assistante-metteuse en scène, dans le cadre du festival Bruits de langues. Après son diplôme en Humanités hispaniques, elle écrit le poème Là bas, dont elle fait la lecture publique lors d’une expo-vente au profit des réfugiés mineurs non accompagnés.
Johanna Delorme a contribué à l’écriture collective de la revue Poétisthme (n°11) avec le poème Oppression ainsi qu’à l’œuvre Incertain monde numérique à hauteur de trois poèmes Oppression, Sonnet sans 5G et #Insomnie, que l’on peut retrouver dans le recueil L’étoile filante du sud.