Parti travailler dans ce pays du sud de l’Asie en janvier 2011, Elisée Kouassi est retourné au bercail en novembre 2012, soit après une période de vingt-trois mois. Employé d’une multinationale, il a rendu le tablier après moins de deux ans d’activité. Il aurait pu rester encore longtemps, mais il a estimé que l’on est jamais assez prêt pour entreprendre.